La commission du Parlement écossais soutient la loi sur la zone tampon des cliniques d'avortement pour protéger les femmes contre l'intimidation

Une commission parlementaire écossaise a approuvé un projet de loi visant à établir une zone tampon de 200 mètres autour des cliniques d'avortement pour prévenir les manifestations et l'intimidation des femmes.
Le projet de loi, présenté par Gillian Mackay, députée du Parti vert, fait suite aux rapports de manifestations du groupe pro-vie 40 Days for Life devant l'hôpital universitaire Queen Elizabeth de Glasgow. Mackay a décrit les manifestations comme une "intimidation ciblée" et le comité a accepté les principes généraux du projet de loi. Un projet de loi écossais propose d'amender les militants pro-vie qui s'immiscent dans une zone de 200 mètres autour des établissements de santé, avec des amendes illimitées pour les infractions graves. Les partisans du projet de loi soutiennent qu'il est nécessaire de s'assurer que les femmes puissent accéder en toute sécurité aux soins de santé, compte tenu des arguments contradictoires des droits de l'homme. Le secrétaire à la Santé de l'Écosse, Neil Gray, plaide en faveur de la loi en raison des protestations "inacceptables" des groupes anti-avortement. Les opposants affirment que le projet de loi porte atteinte à leur liberté d'expression dans les espaces publics. Les MSP ont exprimé leurs inquiétudes au sujet d'une zone d'accès sécurisé de 200 m proposée dans un projet de loi, arguant que les 150 m recommandés par les experts seraient suffisants. Une exception pourrait être faite pour l'hôpital universitaire Queen Elizabeth en raison de sa disposition. Le comité a également entendu des préoccupations sur le fait qu'il pourrait être difficile pour la police de distinguer ceux qui prient silencieusement de ceux qui violent la loi.
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