Le conseiller britannique sur le climat: la dilution des politiques vertes par Sunak ramène la Grande-Bretagne à zéro net

Rishi Sunak, le Premier ministre britannique, a été critiqué par Chris Stark, le chef sortant du Comité sur le changement climatique, pour ne pas avoir donné la priorité à la crise climatique et pour avoir fait reculer la réputation de la Grande-Bretagne en tant que leader mondial dans la lutte contre elle.
La décision de Sunak de diluer les politiques vertes clés a eu un impact diplomatique significatif et a été considérée comme un revirement par rapport à son discours de haut niveau de l'année dernière. Le Comité britannique sur le changement climatique (CCC) a critiqué le gouvernement de Rishi Sunak pour ne pas avoir nommé un nouveau président du comité, soulevant des inquiétudes sur les politiques climatiques du pays. Sunak avait précédemment retardé de cinq ans l'interdiction de la vente de voitures neuves à essence et diesel, ce qui était considéré comme un recul par rapport aux engagements climatiques précédents. Le retard a été présenté comme une approche plus mesurée de la transition, selon l'ancien président de la commission, Lord Deben. Le Parti conservateur a utilisé cette politique pour se différencier du Parti travailliste lors de la deuxième élection à Uxbridge. Stark s'est dit préoccupé par le fait que les progrès du Royaume-Uni vers des émissions nettes nulles se sont ralentis sous la direction du chancelier Rishi Sunak. Il a estimé que le Royaume-Uni était autrefois le leader dans ce domaine, mais qu'il essayait maintenant de reprendre le terrain perdu. Les premiers ministres précédents, Theresa May et Boris Johnson, avaient montré une plus grande ambition en ce qui concerne l'objectif de zéro net.
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