L'analyse d'échantillons de sang de plus de 8 000 femmes a révélé que les vapoteurs et les fumeurs de tabac présentaient des taux d'AMH (une hormone qui indique le nombre d'ovules restants dans les ovaires) inférieurs à ceux des non-vapoteurs, dans tous les groupes d'âge. Une étude menée par la société de santé féminine Hertility, basée sur des données de 325 000 femmes au Royaume-Uni, a révélé qu'environ 25% de celles qui tentent de concevoir vapotent régulièrement ou occasionnellement. L'auteur de l'étude, le Dr Helen O'Neill, professeur de génétique reproductive et moléculaire à l'University College de Londres et directeur général de Hertility, a conseillé aux femmes d'arrêter de vapoter pour améliorer leurs chances de tomber enceintes. L'étude est la première à montrer un lien entre la fertilité et le vapotage dans une grande population. Le texte traite d'une étude qui a révélé une diminution des niveaux d'hormone anti-mullérienne (AMH), utilisée pour évaluer la réserve d'ovules ovariens et la fertilité, chez les femmes qui vapotent par rapport aux non-vapotées. Le rapport révèle également que 7% des femmes interrogées consomment des drogues récréatives et 40% consomment de l'alcool chaque semaine. Le chercheur O'Neill a averti que la modération dans l'alcool peut mener à une consommation excessive.