Le gouvernement, se référant à la Chine comme un "défi définissant l'époque", fait face à des appels de députés, dont Sir Iain Duncan Smith et Suella Braverman, pour une étiquette de "menace" plus formelle. Le vice-Premier ministre Oliver Dowden a laissé entendre une désignation potentielle en raison de l'implication présumée de la Chine dans des cyberattaques, bien qu'il n'y ait pas de mécanisme officiel pour une telle loi au Royaume-Uni ou parmi les alliés du G7 ou des Five Eyes. La stratégie du gouvernement britannique, intégrée dans l'examen de la Chine, a été considérée comme une menace majeure pour la sécurité économique du Royaume-Uni. Le gouvernement britannique a annoncé une réponse de la Chine à une série de cyberattaques ciblées, y compris des attaques ciblées contre des pays alliés, des attaques ciblées contre des pays étrangers, des attaques ciblées contre des pays étrangers, des attaques ciblées contre des États-Unis, des attaques ciblées contre des États-Unis, des attaques ciblées contre des pays alliés, des États-Unis, des États-Unis, des États-Unis, des États-Unis et des États-Unis.