La politique a survécu à l'opposition de certaines figures conservatrices et des députés du DUP d'Irlande du Nord, qui prévoient de travailler à l'amélioration de la législation. Le député du DUP Sammy Wilson a exprimé ses inquiétudes quant à la mise en œuvre, tandis que Stephen Farry, de l'Alliance, était le seul député d'Irlande du Nord à voter en faveur de l'interdiction. Le gouvernement a confirmé que l'interdiction s'appliquerait également en Irlande du Nord. Le premier ministre nord-irlandais du Sinn Fein, Arlene Foster, a annoncé son intention d'introduire une génération sans fumée par le biais d'une nouvelle loi, qui doit être approuvée par l'Assemblée d'Irlande du Nord par le biais d'une motion de consentement législatif (LCM). L'intention est de créer un environnement sans fumée, et l'exécutif a soutenu la proposition du ministre de la Santé Robin Swann de présenter la LCM à l'assemblée. Arlene Foster a nié toute préoccupation que les réglementations de l'UE ou le cadre de Windsor pourraient entraver l'application de la loi en Irlande du Nord. Le Parlement européen a adopté une résolution sur la situation des droits de l'homme en Europe, qui vise à renforcer la protection des droits de l'homme et des droits fondamentaux. Le projet de loi sur le tabac et les vapoteurs a été adopté à la Chambre des communes à une large majorité de 316 voix. Victoria Atkins, secrétaire à la Santé, a souligné l'importance du projet de loi, affirmant qu'"il n'y a pas de liberté dans la dépendance". Si elle est promulguée, les lois britanniques sur le tabagisme seraient parmi les plus strictes au monde. L'approche du Royaume-Uni est censée avoir été influencée par une loi néo-zélandaise, qui a été abrogée plus tard après un changement de gouvernement. Le député Ian Paisley, du DUP, a demandé une garantie que la loi serait appliquée de manière égale dans tout le Royaume-Uni.